Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
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Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Mathias de Morteval Dim 31 Aoû - 23:17:14
Mathias
et Kenzo sont nés dans la région de Lausargne. Mathias était de famille modeste
et n'aspirais qu'à une chose: devenir un Gentilhomme. Il avais eu vent que
certains d'entre eux avaient passés outre la tradition et étaient devenus
officiers dans l'armée et ce, malgré le fait qu'ils n'avaient pas de sang noble
(il est de notoriété publique qu'il faut être de famille noble pour devenir
haut gradé à Lausargne). Mathias rêvait d'aventure et de renommée, mais sa
condition de fils de forgeron ne lui conférais de prestige qu'auprès des fils
et des filles du village. De plus il n'avait pas les moyens de quitter sa
famille, c'est aussi pourquoi il aspirait à devenir Gentilhomme. L'argent qu'il
aurait en étant officier lui servirais à faire vivre les siens et il pourrait
sans remords quitter le foyer familial.
Kenzo,
lui, provenait de famille aisée. Sa famille était une des plus influente de
Lausargne. Son père voulais pour lui une vie de bourgeois, sans danger et
dépourvu de tout soucis. Kenzo n'envisageais pas sa vie de la même façon. Il
rêvait d'une vie d'aventure, de danger, tout le contraire que lui offrais son
père. Une vie ou il faut travailler dur pour gagner son pain et ou l'imprévu
fait partie du lot quotidien. Le seul avantage d'être le fils d'un tel richard,
était pour Kenzo le maître d'arme qui venait une fois par jour pour entraîner
les membres de la famille aux diverses formes d'escrime et de combat. C’est
ainsi qu’il fut initié à l’art du tir à l’arquebuse.
Ces
deux jeunes gens se connurent lors d’une des fugue nocturne de Kenzo. Il lui
arrivais de quitter la demeure familiale la nuit venue pour se mêler aux badaud
et voir comment la vie se passait à l’extérieur des cartiers mondains. Alors
âgé de 12 ans, Kenzo eu vent d’une fête organisé par les marchands du cartier
adjacent au sien. Un cartier pas particulièrement pauvre, mais ou les riches
n’osaient pas s’aventurer. À onze heure sonnantes, Kenzo quitta son lit, ouvris
sa fenêtre et entrepris de descendre par les vignes qui grimpaient jusque là. Son
évasion complétée, il se rendit, tout en déjouant les gardes, jusqu’au cartier
ou avait lieu la fête. L’endroit était très animé : des jongleurs, des
cracheurs de feu et des gens de tout age et venant de partout en Confédération.
Il y avait même quelques étrangers venant de la Khallonie. Scrutant la foule,
il remarqua qu’un homme était assis en retrais de tous sur un énorme échafaud
en bois. Il ne pouvais distinguer son visage mais grâce à la taille de
l’inconnu, il estimât qu’il devait être du même age que lui et puis, il ne
savait pas pourquoi, mais sans le connaître, cet homme lui inspirais confiance.
Avant qu’il ai pu le rejoindre, il fut intercepté par une bande de voyous armés
de bâtons et de couteaux, ils voulurent lui voler sa bourse mais voyant qu’il
n’en avait pas, ils entreprirent de le malmener pour lui apprendre à toujours
avoir de l’argent sur lui. Seul contre sept, il tentas de se remémorer les leçons de son maître d’arme, sans
succès. Il se dit donc qu’au lieu de chercher»une citation qui ne lui serait
d’aucune utilité, il ferais mieux de foncer dans le tas et tuer le chef en
vitesse. Mais il avait comme seul compagnon, une dague qui, certes avait plus
de portée que les misérables couteaux de ces voleurs, mais qui ne serais pas de
grand secours face à leurs nombre. Il allait passer à l’assaut, quant un des
agresseurs s’écroula, la nuque en sang. Kenzo reconnus à sa posture, l’homme
qu’il tentait de rejoindre plus tôt. Il tenait dans ces mains un marteau de
forge immense qui ruisselais de sang. Mathias dit Le Gardien avait une sacré
réputation dans le cartier, on disait dans les rues qu’il était le fruit de
l’union d’une priante de Démon et de l’homme le plus pieux et le plus
respectable des environs. Sa réputation était justifiée: Il n’était pas un
bagarreur de nature, bien au contraire, mais quant il se battait, on avait
l’impression de voir un démon à l’œuvre. De plus ses cibles était le plus
souvent des gens respectés par l’autorité. Quoi qu’il en soit, Kenzo saisit la
chance qui lui était offerte et entaillât le bras du premier tandis que Mathias
faisait reculer les brutes en faisant de grands moulinets avec son marteau. La
bataille fut brève, mais d’une violence extrême. Plusieurs des brutes s’était
enfuis, trop blessés pour continuer la ‘’bataille’’. Kenzo se retourna et fit
face à celui qui l’avait aidé à ce débarrasser de cette racaille. Mathias était
chancelant : un couteau l’avait atteint. Voyant la condition de son nouvel
ami, il alla le soutenir et tout en faisant les premiers pas vers le manoir
familial, il lui demanda ou il avait appris à ce battre de la sorte. La réponse
de celui-ci le surprit : ‘’Ha, ha, je voulais justement te poser
la même question!’’. Sur ce, Mathias s’évanouit. Kenzo fit donc le reste du
trajet avec celui-ci sur les épaules.
Le
lendemain, Mathias se réveillas avec la gouvernante de la maison à son chevet.
Son étonnement montas d’un cran lorsqu’il vit que ses plaies était nettoyés et
pansées. Mathias demanda à la jeune femme où il était et depuis combien de temps
il dormait. Elle lui répondit qu’il dormait depuis le moment où elle l’avait
retrouvé, évanouis dans l’entrée et qu’il était dans les cartiers des
serviteurs du manoir de la famille Ofsey. Abasourdis, Mathias restât muet et
contemplât les lieu par la porte qui menais au hall principal: Toutes les
moulures étaient recouvertes de feuillures d’or, les meubles était tous fait
des bois les plus recherchés et le plafond était une immense fresque
représentant un galion aux prises avec des monstres marin. Mathias se leva avec
la ferme intention de quitter cet endroit au plus vite. Rapide de nature, il
lui fut facile d’éviter les serviteurs qui tentaient de lui barrer la route. Il
arriva enfin devant ce qui lui semblait être la porte principale. Il ne lui
restait plus qu’à passer au travers du hall d’entrée et à pousser l’immense
porte du manoir pour enfin se rendre à l’extérieur et ainsi échapper au
châtiment du maître des lieux. Il se précipita donc vers la porte et dans son
affolement, ne remarquât pas la présence de Kenzo. Celui ci, surpris de voir
Mathias s’enfuir de la sorte, lui bloqua le passage. Le fugitif tentât un
passage par la droite mais la vitesse qu’il avait acquit durant sa course ne
lui permettait de passer qu’à seulement quelques centimètres de l’autre homme.
Kenzo avait bien sur anticipé cette manœuvre et n’eu qu’à lever le bras gauche
pour que Mathias s’étale de tout son long sur le plancher : ‘’Merde,
mais t’est con ou quoi? Tu veut qu’on te prenne pour un voleur?’’
Reconnaissant
l’homme avec qui il avait combattu la nuit passée, il se calmât sur le champ et
lui répondit : ‘’Bah... C’était pas mon intention, mais dit moi... Vous
aviez pas l’intention de me vendre comme esclave, toujours?
-Mais?? De
quoi tu parle? Tu sais bien que non. Je ne fait que te rendre la monnaie de ta
pièce.
-Heu?
-Argh! Te
remercier pour le service que tu m’as rendu hier!
-Haaa!
D’accord... Mais c’était rien, tu sais. Je t’ai bien vu te battre, tu les
aurais tous étendus c’est certain!
-Arête...
J’ai juste mis en pratique les leçons de mon Maître d’arme.
-Quoi?
Apprend moi à me battre comme toi! En échange, je te montre tout mes trucs!
-...
Il n’eu pas le
temps de répondre. Les serviteurs et les gardes accouraient déjà de partout.
Kenzo aida Mathias à se relever en lui disant pour toute réponse : ‘’Même
endroit, même heure!’’
Mathias
acquiesça avec un sourire en coin et disparut un instant après avoir poussé la
porte. Le père de Kenzo arriva suivi de ses conseillers: ‘’Richard! Que
c’est il passé ici? Dit-il d’un ton
qui se voulait sévère.
-Pas de tes
affaires. Répondit
Kenzo d’une voie neutre. Et arrête de m’appeler comme sa, mon nom c’est
Kenzo, K-E-N-Z-O, compris?
-D’accord
mon fils, si tel est ton désir, ton vieux père veut bien te l’accorder!
L’attitude
qu’avait son père à son égard l’insupportais au plus haut point. C’est une des
raison qui l’avais poussé à renier le nom qu’il lui avait donné, de même que le
nom de sa famille, au grand dam de sa mère.
La nuit venue, Kenzo se
rendit comme convenu au lieu qu’il avait désigné. L’endroit était désert, on
aurait eu peine à croire qu’il y avait eu une fête ici la veille. Mathias était
tout en haut de l’échafaud, au même endroit où il se tenait la première fois
qu’il l’avait vu. Kenzo monta le rejoindre. Et c’est là que, pour la première
fois, ils se présentèrent l’un à l’autre. L’entraînement commença tout de suite
après. Les deux étaient très doués et apprenaient vite l’un de l’autre. Au fil
des jours et des entraînements, Mathias apprenait à devenir un bretteur
respectable, à anticiper l’attaque ennemie et à tirer au mousquet. Kenzo appris
à devenir plus rapide et plus téméraire dans ses attaques et appris à manier
les armes lourdes avec facilité. Ils avaient tous deux la fougue de la jeunesse
et brûlaient de l’envie de devenir plus fort. Maintenant âgés de 16 et 14 ans,
un instinct de compétition les poussaient à se dépasser dans les affrontements
et dans tout ce qu’ils entreprenaient. Les concours de boisson, les duels, les
joutes verbales, les concours de tir et de lutte, les courses, les concours
d’agilité et de force et bien sur, faire la cours aux damoiselles faisait
maintenant partis de leur quotidien, pour leur plus grand bonheur. C’est
pendant cette période qu’il s’engagèrent dans ‘’Le Fléau Confédéré’’ un groupe
de mercenaire spécialisé dans la formation de gardes du corps et d’éclaireurs.
Aussitôt engagés il se virent confier des mission qui nécessitait un sang froid
exemplaire et des habiletés martiales hors du commun. Ils montèrent en grade
très vite, tant et tellement qu’ils attisaient la jalousie de leurs aînés.
Mathias devenu Sergent et Kenzo Caporal, ils reçurent l’ordre de se rendre sans
tarder en Khalonie, scène de bien des combats depuis les dernières années. Leur
commandant, un certain Eindrich, les plaças au commendes d’une des divisions du
‘’Fléau’’, ce qui était tout à fait normal puisqu’ils faisaient partie
intégrante de cette unité, mais ce qui les surpris le plus, c’était le fait que
l’ordre ai été donné par un officier Khalonien n’ayant aucun lien avec eux ni
avec leur groupe de mercenaire. Quoi qu’il en soit, Mathias et Kenzo n’eurent
pas le temps de demander des explications, les tribus orcs commençaient déjà à
se profiler à l’horizon. Jamais de leur courte vie ils n’avaient contemplés une
armée si nombreuse, la bataille semblait déjà en faveur de ces brutes. L’assaut
fut donné du côté orc. Dans un cris de guerre assourdissant, la marée se mit en
mouvement. Mathias fut pétrifié par cette vision, certes il avait l’habitude
des combats mais jamais débalancés de la sorte. Kenzo cria les ordres à sa
place. Tous dégainèrent leurs armes et se mirent en position. Lorsque les orcs
furent à mi-chemin, Mathias sortit de sa torpeur et s’adressa aux hommes :
‘’Aujourd’hui, il est peu probable que nous survivions. Sans doute
pensez-vous que nous serons défaits et qu’après nous les homme de ce pays
périront. Mais... Allons nous laisser passer ces bêtes abjectes? Allons nous
les laisser prendre possession de ces terres et des vies qui s’y trouvent? Non,
soldats! Nous allons combattre! Ils ont beau être trois fois plus nombreux que
nous, ma lame ne tolèrera pas qu’un seul orc franchisse nos rangs! Je
combattrai pour cette patrie comme je le ferais avec la mienne! Alors
messieurs? Me suivrez-vous au combat? Me suivrez-vous vers la victoire?’’ Un
cris retentissant jaillit des mercenaires, maintenant gonflés à bloc. Kenzo
s’avança et décrocha un sourire moqueur à Mathias (C’est Kenzo qui lui avait
conseillé de faire un discours pour motiver les troupes). Enfin, le moment de
la charge sonna, dans un cris digne d’un démon Mathias courus vers les orcs
suivis de ses troupes qui lui répondirent d’un tonnerre de voix : Pour
le Fléau, pour la victoire, pour les hommes! Kenzo était déjà entrain de
tirer avec les autres arquebusiers...
C'est encore le début... Soyez indulgent avec moi! Si vous avez des commentaires où des critiques, faites le moi savoir!
Merci,
Frank
et Kenzo sont nés dans la région de Lausargne. Mathias était de famille modeste
et n'aspirais qu'à une chose: devenir un Gentilhomme. Il avais eu vent que
certains d'entre eux avaient passés outre la tradition et étaient devenus
officiers dans l'armée et ce, malgré le fait qu'ils n'avaient pas de sang noble
(il est de notoriété publique qu'il faut être de famille noble pour devenir
haut gradé à Lausargne). Mathias rêvait d'aventure et de renommée, mais sa
condition de fils de forgeron ne lui conférais de prestige qu'auprès des fils
et des filles du village. De plus il n'avait pas les moyens de quitter sa
famille, c'est aussi pourquoi il aspirait à devenir Gentilhomme. L'argent qu'il
aurait en étant officier lui servirais à faire vivre les siens et il pourrait
sans remords quitter le foyer familial.
Kenzo,
lui, provenait de famille aisée. Sa famille était une des plus influente de
Lausargne. Son père voulais pour lui une vie de bourgeois, sans danger et
dépourvu de tout soucis. Kenzo n'envisageais pas sa vie de la même façon. Il
rêvait d'une vie d'aventure, de danger, tout le contraire que lui offrais son
père. Une vie ou il faut travailler dur pour gagner son pain et ou l'imprévu
fait partie du lot quotidien. Le seul avantage d'être le fils d'un tel richard,
était pour Kenzo le maître d'arme qui venait une fois par jour pour entraîner
les membres de la famille aux diverses formes d'escrime et de combat. C’est
ainsi qu’il fut initié à l’art du tir à l’arquebuse.
Ces
deux jeunes gens se connurent lors d’une des fugue nocturne de Kenzo. Il lui
arrivais de quitter la demeure familiale la nuit venue pour se mêler aux badaud
et voir comment la vie se passait à l’extérieur des cartiers mondains. Alors
âgé de 12 ans, Kenzo eu vent d’une fête organisé par les marchands du cartier
adjacent au sien. Un cartier pas particulièrement pauvre, mais ou les riches
n’osaient pas s’aventurer. À onze heure sonnantes, Kenzo quitta son lit, ouvris
sa fenêtre et entrepris de descendre par les vignes qui grimpaient jusque là. Son
évasion complétée, il se rendit, tout en déjouant les gardes, jusqu’au cartier
ou avait lieu la fête. L’endroit était très animé : des jongleurs, des
cracheurs de feu et des gens de tout age et venant de partout en Confédération.
Il y avait même quelques étrangers venant de la Khallonie. Scrutant la foule,
il remarqua qu’un homme était assis en retrais de tous sur un énorme échafaud
en bois. Il ne pouvais distinguer son visage mais grâce à la taille de
l’inconnu, il estimât qu’il devait être du même age que lui et puis, il ne
savait pas pourquoi, mais sans le connaître, cet homme lui inspirais confiance.
Avant qu’il ai pu le rejoindre, il fut intercepté par une bande de voyous armés
de bâtons et de couteaux, ils voulurent lui voler sa bourse mais voyant qu’il
n’en avait pas, ils entreprirent de le malmener pour lui apprendre à toujours
avoir de l’argent sur lui. Seul contre sept, il tentas de se remémorer les leçons de son maître d’arme, sans
succès. Il se dit donc qu’au lieu de chercher»une citation qui ne lui serait
d’aucune utilité, il ferais mieux de foncer dans le tas et tuer le chef en
vitesse. Mais il avait comme seul compagnon, une dague qui, certes avait plus
de portée que les misérables couteaux de ces voleurs, mais qui ne serais pas de
grand secours face à leurs nombre. Il allait passer à l’assaut, quant un des
agresseurs s’écroula, la nuque en sang. Kenzo reconnus à sa posture, l’homme
qu’il tentait de rejoindre plus tôt. Il tenait dans ces mains un marteau de
forge immense qui ruisselais de sang. Mathias dit Le Gardien avait une sacré
réputation dans le cartier, on disait dans les rues qu’il était le fruit de
l’union d’une priante de Démon et de l’homme le plus pieux et le plus
respectable des environs. Sa réputation était justifiée: Il n’était pas un
bagarreur de nature, bien au contraire, mais quant il se battait, on avait
l’impression de voir un démon à l’œuvre. De plus ses cibles était le plus
souvent des gens respectés par l’autorité. Quoi qu’il en soit, Kenzo saisit la
chance qui lui était offerte et entaillât le bras du premier tandis que Mathias
faisait reculer les brutes en faisant de grands moulinets avec son marteau. La
bataille fut brève, mais d’une violence extrême. Plusieurs des brutes s’était
enfuis, trop blessés pour continuer la ‘’bataille’’. Kenzo se retourna et fit
face à celui qui l’avait aidé à ce débarrasser de cette racaille. Mathias était
chancelant : un couteau l’avait atteint. Voyant la condition de son nouvel
ami, il alla le soutenir et tout en faisant les premiers pas vers le manoir
familial, il lui demanda ou il avait appris à ce battre de la sorte. La réponse
de celui-ci le surprit : ‘’Ha, ha, je voulais justement te poser
la même question!’’. Sur ce, Mathias s’évanouit. Kenzo fit donc le reste du
trajet avec celui-ci sur les épaules.
Le
lendemain, Mathias se réveillas avec la gouvernante de la maison à son chevet.
Son étonnement montas d’un cran lorsqu’il vit que ses plaies était nettoyés et
pansées. Mathias demanda à la jeune femme où il était et depuis combien de temps
il dormait. Elle lui répondit qu’il dormait depuis le moment où elle l’avait
retrouvé, évanouis dans l’entrée et qu’il était dans les cartiers des
serviteurs du manoir de la famille Ofsey. Abasourdis, Mathias restât muet et
contemplât les lieu par la porte qui menais au hall principal: Toutes les
moulures étaient recouvertes de feuillures d’or, les meubles était tous fait
des bois les plus recherchés et le plafond était une immense fresque
représentant un galion aux prises avec des monstres marin. Mathias se leva avec
la ferme intention de quitter cet endroit au plus vite. Rapide de nature, il
lui fut facile d’éviter les serviteurs qui tentaient de lui barrer la route. Il
arriva enfin devant ce qui lui semblait être la porte principale. Il ne lui
restait plus qu’à passer au travers du hall d’entrée et à pousser l’immense
porte du manoir pour enfin se rendre à l’extérieur et ainsi échapper au
châtiment du maître des lieux. Il se précipita donc vers la porte et dans son
affolement, ne remarquât pas la présence de Kenzo. Celui ci, surpris de voir
Mathias s’enfuir de la sorte, lui bloqua le passage. Le fugitif tentât un
passage par la droite mais la vitesse qu’il avait acquit durant sa course ne
lui permettait de passer qu’à seulement quelques centimètres de l’autre homme.
Kenzo avait bien sur anticipé cette manœuvre et n’eu qu’à lever le bras gauche
pour que Mathias s’étale de tout son long sur le plancher : ‘’Merde,
mais t’est con ou quoi? Tu veut qu’on te prenne pour un voleur?’’
Reconnaissant
l’homme avec qui il avait combattu la nuit passée, il se calmât sur le champ et
lui répondit : ‘’Bah... C’était pas mon intention, mais dit moi... Vous
aviez pas l’intention de me vendre comme esclave, toujours?
-Mais?? De
quoi tu parle? Tu sais bien que non. Je ne fait que te rendre la monnaie de ta
pièce.
-Heu?
-Argh! Te
remercier pour le service que tu m’as rendu hier!
-Haaa!
D’accord... Mais c’était rien, tu sais. Je t’ai bien vu te battre, tu les
aurais tous étendus c’est certain!
-Arête...
J’ai juste mis en pratique les leçons de mon Maître d’arme.
-Quoi?
Apprend moi à me battre comme toi! En échange, je te montre tout mes trucs!
-...
Il n’eu pas le
temps de répondre. Les serviteurs et les gardes accouraient déjà de partout.
Kenzo aida Mathias à se relever en lui disant pour toute réponse : ‘’Même
endroit, même heure!’’
Mathias
acquiesça avec un sourire en coin et disparut un instant après avoir poussé la
porte. Le père de Kenzo arriva suivi de ses conseillers: ‘’Richard! Que
c’est il passé ici? Dit-il d’un ton
qui se voulait sévère.
-Pas de tes
affaires. Répondit
Kenzo d’une voie neutre. Et arrête de m’appeler comme sa, mon nom c’est
Kenzo, K-E-N-Z-O, compris?
-D’accord
mon fils, si tel est ton désir, ton vieux père veut bien te l’accorder!
L’attitude
qu’avait son père à son égard l’insupportais au plus haut point. C’est une des
raison qui l’avais poussé à renier le nom qu’il lui avait donné, de même que le
nom de sa famille, au grand dam de sa mère.
La nuit venue, Kenzo se
rendit comme convenu au lieu qu’il avait désigné. L’endroit était désert, on
aurait eu peine à croire qu’il y avait eu une fête ici la veille. Mathias était
tout en haut de l’échafaud, au même endroit où il se tenait la première fois
qu’il l’avait vu. Kenzo monta le rejoindre. Et c’est là que, pour la première
fois, ils se présentèrent l’un à l’autre. L’entraînement commença tout de suite
après. Les deux étaient très doués et apprenaient vite l’un de l’autre. Au fil
des jours et des entraînements, Mathias apprenait à devenir un bretteur
respectable, à anticiper l’attaque ennemie et à tirer au mousquet. Kenzo appris
à devenir plus rapide et plus téméraire dans ses attaques et appris à manier
les armes lourdes avec facilité. Ils avaient tous deux la fougue de la jeunesse
et brûlaient de l’envie de devenir plus fort. Maintenant âgés de 16 et 14 ans,
un instinct de compétition les poussaient à se dépasser dans les affrontements
et dans tout ce qu’ils entreprenaient. Les concours de boisson, les duels, les
joutes verbales, les concours de tir et de lutte, les courses, les concours
d’agilité et de force et bien sur, faire la cours aux damoiselles faisait
maintenant partis de leur quotidien, pour leur plus grand bonheur. C’est
pendant cette période qu’il s’engagèrent dans ‘’Le Fléau Confédéré’’ un groupe
de mercenaire spécialisé dans la formation de gardes du corps et d’éclaireurs.
Aussitôt engagés il se virent confier des mission qui nécessitait un sang froid
exemplaire et des habiletés martiales hors du commun. Ils montèrent en grade
très vite, tant et tellement qu’ils attisaient la jalousie de leurs aînés.
Mathias devenu Sergent et Kenzo Caporal, ils reçurent l’ordre de se rendre sans
tarder en Khalonie, scène de bien des combats depuis les dernières années. Leur
commandant, un certain Eindrich, les plaças au commendes d’une des divisions du
‘’Fléau’’, ce qui était tout à fait normal puisqu’ils faisaient partie
intégrante de cette unité, mais ce qui les surpris le plus, c’était le fait que
l’ordre ai été donné par un officier Khalonien n’ayant aucun lien avec eux ni
avec leur groupe de mercenaire. Quoi qu’il en soit, Mathias et Kenzo n’eurent
pas le temps de demander des explications, les tribus orcs commençaient déjà à
se profiler à l’horizon. Jamais de leur courte vie ils n’avaient contemplés une
armée si nombreuse, la bataille semblait déjà en faveur de ces brutes. L’assaut
fut donné du côté orc. Dans un cris de guerre assourdissant, la marée se mit en
mouvement. Mathias fut pétrifié par cette vision, certes il avait l’habitude
des combats mais jamais débalancés de la sorte. Kenzo cria les ordres à sa
place. Tous dégainèrent leurs armes et se mirent en position. Lorsque les orcs
furent à mi-chemin, Mathias sortit de sa torpeur et s’adressa aux hommes :
‘’Aujourd’hui, il est peu probable que nous survivions. Sans doute
pensez-vous que nous serons défaits et qu’après nous les homme de ce pays
périront. Mais... Allons nous laisser passer ces bêtes abjectes? Allons nous
les laisser prendre possession de ces terres et des vies qui s’y trouvent? Non,
soldats! Nous allons combattre! Ils ont beau être trois fois plus nombreux que
nous, ma lame ne tolèrera pas qu’un seul orc franchisse nos rangs! Je
combattrai pour cette patrie comme je le ferais avec la mienne! Alors
messieurs? Me suivrez-vous au combat? Me suivrez-vous vers la victoire?’’ Un
cris retentissant jaillit des mercenaires, maintenant gonflés à bloc. Kenzo
s’avança et décrocha un sourire moqueur à Mathias (C’est Kenzo qui lui avait
conseillé de faire un discours pour motiver les troupes). Enfin, le moment de
la charge sonna, dans un cris digne d’un démon Mathias courus vers les orcs
suivis de ses troupes qui lui répondirent d’un tonnerre de voix : Pour
le Fléau, pour la victoire, pour les hommes! Kenzo était déjà entrain de
tirer avec les autres arquebusiers...
C'est encore le début... Soyez indulgent avec moi! Si vous avez des commentaires où des critiques, faites le moi savoir!
Merci,
Frank
Mathias de Morteval- Neko-chan, l'être qui mérite de se faire venger !
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Localisation : Ailleur...
Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Serj Dim 31 Aoû - 23:37:30
Intense Frank. Utile pour Bélénos, Utile pour KaizØku. Rock on ! :D
Serj- Chef de l'Ordre de Morteval
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Localisation : Serjada (St-Thomas d'Aquin) -
Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Carl Lun 1 Sep - 19:07:29
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH! Des dialogues dans un background! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!
Carl- Carl s't'un Druide. Oh non, un Mage finalement. o_o.
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Localisation : Ici.
Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Mathias de Morteval Lun 1 Sep - 19:33:05
...Fuck you!
Mathias de Morteval- Neko-chan, l'être qui mérite de se faire venger !
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Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par ben. Mar 2 Sep - 9:40:14
bah... sa fais nouveau genre?
ben.- Maître Druide
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Localisation : st-
Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Serj Mar 2 Sep - 14:54:44
Original, ok, !?
Serj- Chef de l'Ordre de Morteval
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Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par ben. Mar 2 Sep - 15:26:34
original non étrange oui!
ben.- Maître Druide
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Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par Mathias de Morteval Mar 2 Sep - 18:01:50
(ARGH! Allez tous chier! Je retire ce background de ce pas!)
Mathias de Morteval- Neko-chan, l'être qui mérite de se faire venger !
- Messages : 251
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Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
par ben. Mar 2 Sep - 20:21:42
non fais pas sa, ces nice!, ces juste moi pis serj qui faisait des joute de flood!
ben.- Maître Druide
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Re: Mathias[MORT] et Kenzo [Porté disparu (Dede ne viens plus à bélé. criss.)
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